Qui sommes-nous ?
Depuis des années, le groupe écologiste de Montrouge s’investit au quotidien pour une ville plus verte, plus solidaire et plus vivable.
Rencontrez quelques un.es de nos militant.es : des profils variés, des engagements forts, et une même conviction — ensemble, nous pouvons transformer Montrouge en un modèle de transition écologique et sociale.
Benoît : mobilité active et nature
Bonjour je m’appelle Benoît Pelletier, j’ai 45 ans et j’habite le quartier de Montrouge Est. Je suis parent d’élèves et je promeus les mobilités actives. J’ai adhéré aux écologistes pour participer dans un collectif à la défense des droits humains, de la justice sociale et environnementale.
Ce qui me manque le plus à Montrouge, c’est de l’espace, de la Nature. On a tous besoin d’ espace vert pour respirer, jouer en famille, faire du sport, se reposer. C’est bon pour la santé et la qualité de vie des habitants. Et Montrouge est l’une des villes proches de Paris qui en manque le plus.
Ma proposition pour la ville de Montrouge est de rendre aux habitants de chaque quartier les zones dont la mairie est propriétaire et qui sont mal employés par la mairie pour en faire des espaces verts, ouverts à tous.
Créer des espaces verts dans chaque quartier
Pour donner 5 exemples :
- Rue Amaury Duval : cette parcelle est fermée et non utilisée par la mairie depuis plusieurs années. Elle est située à côté du centre médical, dont les patients seraient contents de pouvoir se promener en sortant de leurs consultations.
- Place Jules Ferry : ce grand parking devrait être transformé pour agrandir le parc Jules Ferry. Des places de parking souterrain seraient proposées aux utilisateurs actuels. Et Montrouge serait pourvu d’un grand parc qui fait défaut dans notre ville.
- Rue de la vanne : le parking de la maison des associations sert à entreposer du matériel de la mairie. Un bâtiment en préfabriqués abrite les distributions alimentaires de solidarité. On pourrait trouver un lieu plus solide et pérenne pour les actions de solidarité. Et agrandir le parc Monnet qui se trouve juste à côté.
- Rue de la Marne : cette parcelle non construite sur laquelle se tient le marché de la Marne se situe dans un quartier déjà trop dense. Le projet de la majorité conservatrice de Montrouge d’y ériger une tour pourrait utilement être remplacé par un espace vert.
- Projet fac dentaire : il faut profiter du projet en cours pour créer un véritable espace vert avec de la pleine terre et ouvert aux habitants du quartier.
Catherine : de la DRH à l'action locale
Je m’appelle Catherine Riglet-de Laroche, je suis retraitée d’une grande entreprise où j’ai exercé des fonctions de DRH, et je réside à Montrouge depuis 12 ans.
Je suis engagée politiquement depuis plusieurs années. J’ai également été investie dans l’accueil des personnes en situation de précarité chez Emmaüs et au Secours Populaire.
J’ai rejoint le groupe des Écologistes à Montrouge, auprès duquel j’ai trouvé des valeurs de solidarité, d’humanisme et de bienveillance.
Face à l’urgence climatique, à la crise démocratique et aux inégalités économiques et sociales croissantes, nous avons plus que jamais besoin de renforcer notre action locale.
Montrouge qui bénéficie d’atouts importants (proximité de Paris, transports en commun, commerçants variés) doit devenir un véritable laboratoire de la transition écologique, sociale et solidaire.
Une meilleure qualité de vie à Montrouge
Ce que je souhaite c’est que notre ville devienne plus accueillante pour de nouveaux arrivants, les familles, les jeunes couples, les étudiants et retraités trouveront les logements dont ils ont besoin, qu’il fasse bon y vivre dans un environnement végétalisé, où la circulation automobile sera moins dense et bruyante, où les enfants bénéficieront d’espaces de jeux nombreux et ombragés.
Notre ville devra se préparer à l’évolution du climat afin de préserver notre santé et la qualité de vie pour tous.
Il est également nécessaire d’accompagner les commerçants par des loyers raisonnables, afin qu ils puissent maintenir leurs activités pour contribuer à la satisfaction des habitants et ainsi à la vitalité de la ville.
Enfin les activités culturelles répondre aux attentes multiples et variées, des Montrougiens.
Je souhaite une qualité de vie meilleure pour tous !
Sabeline : un engagement pour l'économie circulaire
Je suis montrougienne depuis une dizaine d’années dans le quartier des Portes de Montrouge.
Je suis sensible à la cause écologique depuis une vingtaine d’années et à titre personnel, j’essayais de respecter la planète le plus possible dans mon quotidien et puis devant l’accélération du réchauffement climatique, je me suis rendu compte qu’il fallait agrandir mon champs d’action et j’ai pris contact avec le groupe local de Montrouge.
S'entraider et réparer avec une ressourcerie
Dans le cadre de cette campagne municipale avec Montrouge Autrement, j’aimerais qu’on réfléchisse pour implanter une Ressourcerie à Montrouge.
Je la rêve comme un lieu social d’entraide. Non seulement on pourrait déposer ces articles dont on a plus besoin, et en trouver d’autres… On organiserait un Atelier Réparation au moins une fois part mois pour réparer tout ce petit électroménager qu’on jette trop souvent alors qu’on pourrait le réparer. Il y aurait aussi un coin Salon de thé-tricot-couture… Il y aurait des ateliers couture et tricot autour d’une boisson. Et on s’échangerait des conseils entre montrougiens, montrougiennes. Je rêve qu’on puisse s’entraider autant pour un ourlet sur un pantalon, que changer le câble d’un grille pain ou apprendre à remplir un formulaire sur Internet : on a tous des points forts qui pourraient servir aux autres.
Olivier : un engagement familial
Mon nom est Olivier Gabriel. Je vis à Montrouge dans le quartier plein sud depuis l’été 2022. Je suis papa de deux petites filles, dont l’une va au jardin d’enfants.
C’est la naissance de ma fille aînée qui m’a poussé à m’engager au sein des Écologistes : je crois que pour faire face au défi climatique, il nous faut agir collectivement pour dépasser le triangle de l’inaction.
À Montrouge, il y a de nombreuses choses qui doivent changer à mes yeux : sur la gestion des énergies, la politique du logement, …
Cependant, ce sont encore mes filles qui m’inspirent et je voudrais vous parler de la petite enfance : pour moi, le bien-être et la sécurité des jeunes enfants est une priorité absolue.
La petite enfance à Montrouge
Tout d’abord, je veux saluer le travail remarquable des professionnelles des structures municipales de la petite enfance à Montrouge. Mon expérience personnelle et les retours que j’ai recueillis sont très clairs à ce sujet.
Sur ce qui doit changer :
- Aujourd’hui, il y a un manque de transparence dans l’attribution des places en crèche et en jardin d’enfants : certaines familles obtiennent des places d’autres, dans une situation similaire, non, et on ne sait pas pourquoi !
- Ensuite, la réponse de la mairie au scandale des maltraitances à la crèche Bambou me semble insuffisante.
Depuis plusieurs années, l’entreprise gestionnaire de la crèche (la Maison Bleue) a voulu faire des économies et n’a pas su attirer et retenir le personnel qualifié nécessaire.
En conséquence plusieurs enfants ont subi des maltraitances, relevées dans Le Parisien et Libération.
Reconduire le contrat avec la Maison Bleue dans ces conditions, comme la ville de Montrouge l’a fait le 19 juin 2025, est inacceptable pour moi. D’autres options sont disponibles, par exemple transformer cette crèche privée en crèche publique ou associative.
Ma proposition c’est d’accroître le nombre de places dans les crèches publiques pour la sécurité de nos tout petits.
Christophe : pour une ville apaisée et accessible à tous
Bonjour, je m’appelle Christophe De Viti. Je suis enseignant et j’habite à Montrouge depuis 20 ans, avenue Verdier. Je me déplace exclusivement à pied, à vélo ou en transports en commun ; je suis donc particulièrement sensible aux questions de mobilité. J’aimerais pouvoir sortir de chez moi, dans la ville où je vis, sans me sentir oppressé par les transports motorisés, mais évoluer dans un espace partagé, sûr et apaisé.
J’ai choisi d’apparaître sur la liste Montrouge Autrement car je suis convaincu que nous pouvons améliorer notre ville en matière de mobilités douces.
Pour les circulations douces à Montrouge
Si je ne devais défendre qu’une seule proposition, ce serait celle d’un réseau de mobilité douce fonctionnel, continu et sécurisé : des trottoirs réellement larges et accessibles pour les piétons et les personnes à mobilité réduite, sans encombrement dû à un stationnement excessif. Un autre enjeu important pour moi est la création d’un réseau cohérent et structurant de pistes cyclables.
Je suis convaincu que Montrouge peut devenir une ville plus sécurisée, plus respirable, plus agréable à vivre et mieux adaptée aux humains qui y vivent. En repensant nos rues pour qu’elles soient réellement partagées, accessibles et sûres, nous améliorerons le quotidien de toutes et tous : piétons, cyclistes, familles, personnes âgées ou en situation de handicap. C’est cette vision d’une ville apaisée, tournée vers un avenir bas carbone et attentive au bien-être de chacun, que je souhaite défendre et contribuer à construire avec la liste Montrouge Autrement.
Emmanuel : entre pistes cyclables et convivialité
Je suis Emmanuel de Laroche, j’ai 67 ans et j’habite Montrouge depuis 12 ans dans le quartier des écrivains. Je suis maintenant à la retraite et je travaillais avant dans l’agence de l’État qui gère les aides aux agriculteurs
Ce que j’aime à Montrouge, c’est cette ambiance un peu provinciale tout en étant à proximité immédiate avec Paris. C’est idéal pour circuler à pied, en vélo ou en transports en commun et ça me permet de voir mes enfants et petits enfants (qui sont tous entre 2 et 8 km). Mais il est nécessaire de mettre en place un véritable réseau de pistes cyclables sécurisées relié aux villes voisines.
J’aime aussi ce quartier commerçant et animé mais je regrette son côté trop bruyant. Je vois beaucoup de choses à faire qui pourraient l’améliorer et apaiser la ville.
L'alimentation comme levier de durabilité
Mon engagement pour l’écologie est plutôt récent. J’ai pris progressivement conscience des dégâts que nous causons à notre environnement par notre façon de vivre. L’écologie est devenue pour moi comme pour beaucoup de personnes un enjeu prioritaire. C’est un sujet difficile, car il est alarmiste et pas facile à entendre car il remet en cause nos façons de vivre … qui doivent changer.
C’est bien sûr une question de comportement individuel mais aussi d’organisation de notre société et qui questionnent tous les domaines. Ce que j’aimerais faire à Montrouge c’est construire un véritable « projet d’alimentation territorial » afin d’offrir à tous une alimentation qui soit bonne, à la fois pour notre santé, pour nos agriculteurs et pour notre planète.
J’apprécie beaucoup le groupe des Écologistes de Montrouge, car c’est un lieu de dialogue, bienveillant et ouvert, où on peut réfléchir et agir ensemble, entre nous bien sûr, mais aussi avec nos partenaires des autres partis et la société civile.
Sophie : verdissement et concertation
Je m’appelle Sophie Pradayrol et je vis à Montrouge depuis quinze ans, d’abord rue Racine puis désormais au cœur du Vieux Montrouge. Mes deux adolescents y ont passé toute leur enfance.
J’ai fait toute ma vie professionnelle dans des collectivités, dont neuf ans dans une commune de la taille de Montrouge. Je sais donc à quel point des services publics municipaux de qualité peuvent changer la vie quotidienne.
Ce que j’aimerais pour Montrouge, c’est qu’elle soit plus verte, pour que les étés soient plus frais et que nous y respirions mieux.
Notre ville est l’une des plus denses de France. Il est temps de cesser complètement de la bétonner, avec des bâtiments toujours plus hauts, et de rééquilibrer l’espace de vie en faveur de vrais parcs arborés, de continuités vertes à la biodiversité protégée pour améliorer la qualité de vie des habitants de tous les âges.
Plus d'écoute pour mieux vivre
La « densité heureuse » ne se décrète pas. Mon rêve serait que les Montrougiens soient associés à l’élaboration d’une stratégie municipale de verdissement à l’échelle de la ville et par quartier. Je voudrais qu’ils partagent les espaces verts qu’ils aiment fréquenter, la manière dont ils les utilisent, leurs attentes en matière de loisirs, de convivialité et de fraîcheur, les sites inoccupés qui pourraient être transformés en jardins, au sol, sur les toits ou même sur les murs, les cours inaccessibles qui pourraient peut-être être parfois ouvertes, leurs besoins et leurs rêves…
En prenant le temps de recueillir et d’écouter toutes les bonnes idées, rue par rue et quartier par quartier, de nous appuyer sur de bonnes pratiques ayant déjà fait leurs preuves ailleurs, sur les agents municipaux et sur les conseils d’experts, en mobilisant les partenariats techniques et financiers disponibles, dans le strict respect d’une biodiversité déjà très fragilisée et sans abattre d’arbres, je crois qu’on pourrait imaginer et créer une ville où chaque quartier aura plus d’espaces verts et où l’on respire et où l’on vit mieux.
Marie : de l'éducation à l'écologie
Je m’appelle Marie Grèze, j’ai 65 ans et viens de prendre ma retraite de l’Éducation Nationale où j’ai d’abord été enseignante, puis directrice d’école dans le 14ème arrondissement de Paris.
L’actualité il est vrai ne nous incite pas toujours à l’optimisme que ce soit du point de vue politique ou environnemental.
Mon engagement auprès des Écologistes vient pour beaucoup de mon regard sur les enfants et les jeunes générations qui doivent pouvoir vivre dans un monde meilleur, plus inclusif, plus juste, plus solidaire et plus responsable du point de vue de l’environnement.
J’ai choisi de m’engager au niveau municipal car je pense que le « mieux vivre » des citoyens est un atout pour leur implication au sein de la cité, pour la démocratie et pour la construction d’un avenir meilleur pour tous.
Nous avons tous vécu les périodes éprouvantes des canicules. Les scientifiques nous alertent depuis quelques années sur le scénario « Paris à 50° », il est désormais certain qu’il ne s’agit pas d’une fiction mais d’un futur inéluctable. La capitale a commencé un travail d’adaptation mais bien évidemment, toute l’agglomération est concernée.
Montrouge habitable même en canicule
La ville de Montrouge doit elle aussi se projeter, se préparer et anticiper en commençant à mettre en œuvre dès aujourd’hui une politique volontaire qui maintienne pour tous son habitabilité pendant les périodes de canicule.
Je propose de commencer à mettre en place dès maintenant l’adaptation nécessaire aux défis climatiques qui nous attendent.
Cette adaptation passe par exemple par :
- un verdissement déterminé de notre ville.
- la « débitumation » de la ville avec en particulier la création de cours oasis, concertées avec les équipes scolaires, afin de créer des ilots de fraicheur.
- l’arrêt de nouvelles constructions car la densité de notre ville est déjà en tête au niveau national.
- la rénovation thermique des bâtiments publics et la création d’espaces où l’on pourra venir se rafraichir.
- l’éducation au défi climatique des jeunes générations par le biais de l’école et du périscolaire.
- la mise en place sur Montrouge d’un programme d’information éclairée et trans-partisane (cycles de conférences, colloques, réunions de quartier…) afin de sensibiliser et impliquer tous les Montrougiens sur les enjeux écologiques de notre temps et de créer des solidarités et des dynamiques nouvelles.
